1. Retirer les anciens câbles et gaine

Pour commencer, vous devez desserrer la vis serre-câble qui se trouve au niveau du dérailleur. Après, il faut enlever le câble et les segments de gaine. Il arrive que l’on oublie parfois de se repérer concernant le passage de câble et la position des différentes butées de gaines. Et pourtant, il s’agit d’une opération plutôt délicate, notamment sur certaines manettes. N’hésitez pas à démonter le cache.

2. Mesurer et découper les segments de gaine

Vous allez découper votre nouvelle gaine en vous référant aux anciens segments de gaine. Cette opération que vous devez faire si vous avez remarqué un problème de gaine trop longue ou trop courte. Pour cela, il faut positionner votre gaine entre les butées et faire une mesure manuelle de la longueur.

3. Fixer le câble sur la manette de vitesses

L’installation du câble de dérailleur doit commencer au niveau de la manette de vitesses. Avant de faire rentrer le câble dans la gaine, appliquez un peu de lubrifiant sur chaque bout de gaine. Il est aussi possible d’utiliser de la graisse. Mais le petit hic, c’est qu’elle a tendance à coller à la poussière.

4. Placer les embouts et faire passer le câble

Pensez à prévoir des embouts de gaines de dérailleur. Par exemple, pour une gaine de dérailleur divisée en 3 parties, il faut alors compter 6 embouts de gaine. Après, vous devez fixer les gaines sur le cadre du vélo en le faisant passer le long des tubes.

5. Serrer la vis serre-câble du dérailleur arrière

Maintenant, vous allez positionner la manette de vitesse sur le numéro le plus grand. Vous devez ensuite serrer la vis serre-câble tout en tendant le câble à la main. À l’aide d’une pince coupante, découpez l’excédent de câble. Et procédez au dernier réglage du dérailleur arrière.

En quoi consiste le diagnostic auto ?

Le diagnostic auto est une opération permettant de détecter les éventuelles anomalies. Il touche aux capteurs de l’ensemble du système électrique et électronique de la voiture. Il est effectué pour prévenir les pannes importantes.

Des voyants allumés sur le tableau de bord ou des bruits inhabituels peuvent indiquer un besoin de faire un diagnostic. S’il est généralement réalisé par un mécanicien, il est désormais possible de le faire soi-même en disposant du bon équipement, à savoir une valise de diagnostic auto.

Il s’agit d’un outil programmé pour lire les codes de défaut en interrogeant le calculateur. Son utilisation ne requiert aucun démontage de pièces étant donné qu’il suffit de la brancher à une brise OBD. En fonction des indications fournies, la valise peut reprogrammer les codes de défaut en mettant le calculateur à jour.

Il peut également vous donner les informations nécessaires à transmettre au garagiste. En effet, les codes de défaut peuvent indiquer un problème bien plus important nécessitant un remplacement des pièces.

Comment choisir une valise de diagnostic auto ?

La valise de diagnostic auto n’est pas identique pour toutes les marques de véhicule. Le VCDS ou Vag-Com Diagnostic System est un logiciel destiné aux voitures de la marque VAG, c’est-à-dire Volkswagen, Audi, Seat et Skoda. Ce type de logiciel spécifique offre, toutefois, plus de fonctionnalités qu’un simple diagnostic.

Il est en mesure de paramétrer l’ECU afin de booster les performances du véhicule ou d’améliorer son utilisation. Il va au-delà d’un test du calculateur. Il peut toucher à la vanne EGR, aux capteurs de pression et de température, à la pompe d’injection, etc.

Si le VCDS est destiné à des marques spécifiques, il peut avoir une action limitée sur tous les types de véhicules. En effet, le mode dit générique peut effacer l’ensemble des erreurs sur la plupart des voitures. Outre le VCDS, il existe la valise Delphi DS 150 E fonctionnant avec un logiciel Delphi Diag, la valise Lexia 3, la valise PP2000, etc.

Comment effectuer le diagnostic auto soi-même ?

La valise de diagnostic auto se présente sous la forme d’un ordinateur doté d’un boîtier et d’un écran, avec des touches directionnelles ou non. Elle est équipée d’un logiciel préalablement programmé par les constructeurs automobiles afin de détecter les différents codes présents sur la marque en question.

La valise de diagnostic auto est principalement utilisée pour détecter les défaillances au niveau du moteur. Cependant, il peut vérifier le système de freinage, le système d’admission, le système d’éclairage, les équipements de sécurité, etc.

Le diagnostic proprement dit s’effectue en plusieurs étapes, à savoir :

– Relier l’appareil à la prise OBD située sous votre tableau de bord ;
– Mettre le contact pour démarrer l’opération ;
– Fournir les informations demandées par le logiciel afin d’avoir un diagnostic précis. Ces informations concernent la marque et le modèle du véhicule, son numéro de série ou VIN et la puissance du moteur.
– Lancer le scan pour détecter les codes d’erreur.

À la suite du diagnostic, tous les codes vont s’afficher sur l’écran. En fonction du modèle, la valise peut directement indiquer le composant auquel ils correspondent. Dans certains cas, il faudra toutefois vérifier leur signification dans le manuel d’utilisation de votre véhicule ou sur Internet.

Comment interpréter le diagnostic auto ?

Comme mentionné précédemment, le scan va mettre en évidence un code sous forme de succession de chiffres et de lettres. La lettre détermine à quel niveau la défaillance a lieu et se traduit comme suit :

– La lettre P est utilisée pour Powertrain, ce qui signifie qu’elle indique un problème au niveau du moteur ou de la boîte de vitesse ;
– La lettre C fait référence au châssis ;
– La lettre B fait allusion à body, c’est-à-dire à la carrosserie du véhicule ;
– La lettre U pour user network ou réseau de communication.

Les codes d’erreur peuvent être furtifs ou non confirmés lorsqu’ils apparaissent et disparaissent. Il s’agit donc des éléments à vérifier pour anticiper un dysfonctionnement. Si ceux-ci reviennent systématiquement, ils sont considérés comme des codes confirmés ou permanents. Ils ne peuvent être effacés par la valise, mais n’ont généralement aucun impact important sur la voiture.

Faire quelques vérifications

Après avoir passé tout l’hiver dans le garage, le vélo de votre enfant aura besoin d’entretien avant de pouvoir reprendre du service à l’arrivée du printemps. Cet entretien commence par quelques vérifications, niveau sécurité. La première chose à faire est donc, de commencer par un petit dépoussiérage. Ensuite, vérifiez le serrage des roues et resserrez-les, si besoin. Il faudra également les gonfler selon la capacité nécessaire. Ensuite, il sera aussi utile de vérifier l’état du cadre, de la transmission, de la chaine, des rayons et bien sûr, des freins. Procédez également à un lavage complet du vélo, et finissez par huiler correctement toutes les parties qui ont besoin d’être graissées. Une fois que tout ceci est fait, faites essayez le vélo par votre enfant. Voyez si le comportement de la bécane est stable et que rien ne grince. Si c’est le cas, vous pouvez le laisser partir. Par ailleurs, pas de panique si vous n’êtes pas un très bon bricoleur, alors que vous remarquez encore quelques pépins sur le vélo. Vous pouvez également confier la tâche de l’entretien du vélo de votre enfant, à un spécialiste afin de garantir la sécurité de votre enfant.

Préparez votre vélo à affronter le printemps

Même si la température remonte et que les fleurs reprennent leurs belles couleurs, le printemps reste quand même une saison assez délicate. Entre les premières pluies qui font leur apparition, la boue sur les chemins et même des températures qui peuvent parfois refaire quelques petits caprices, il est difficile de se préparer convenablement, des fois, à affronter la météo extérieure. Par conséquent, une mise au point s’impose ! Comme le printemps va laisser toutes les restes de l’hiver à découvert, ils risquent de casser les pneus de votre enfant. Une trousse de crevaison est de ce fait, indispensable et à avoir dans votre garage. Soyez toujours prévoyant et changez les pièces qui vous semblent défectueuses. Et pour terminer, entre l’hiver et le printemps, il se peut que vos petits garnements aient grandi de la longueur ou du poids. De ce fait, réajustez correctement la hauteur de la selle, mais également des pédales et du guidon. Et si besoin, offrez-lui un vélo adapté pour qu’il se sente bien en sécurité sur sa bécane et pour qu’il ait un maximum de confort dans la pratique.

Les équipements indispensables pour le printemps

Si votre enfant adore monter à vélo, il faudra bien l’équiper afin qu’il puisse le pratiquer sans aucun risque, et bien confortablement. Pour cela, pensez à lui procurer des vêtements de cycliste adaptés à sa taille et à sa morphologie. Comme la température varie énormément pendant cette période de l’année, la prudence est de mise ! Priorisez dans ce cas, les habits multicouches. Ceci étant, des chaussures de vélo seront également utiles. Optez pour des modèles avec semelles rigide ou semi-rigide, dans ce cas, mais prenez soin qu’elles soient en fibre de carbone. Cela, parce qu’elles se fixent bien à la pédale, et sont particulièrement confortables. Et côté protection, comme on n’est jamais à l’abri d’un accident, et que les enfants sont tellement imprévisibles et spontanés, il est toujours plus prudent de bien les équiper de façon à limiter les dangers. Pour ce faire, munissez-le de casque, de coudière, de genouillère et pourquoi pas, d’une mitaine. Pour faire face aux intempéries et éventuellement à la pluie, vous pouvez aussi investir dans un bon imperméable ou un K-way selon vos gouts.

Entretien quotidien de la voiture

Quelques gestes quotidiens suffisent pour entretenir son véhicule. D’abord, vérifiez régulièrement le niveau d’huile. Le moteur à froid, vérifiez que l’huile est au bon niveau sur la jauge, ni trop haut ni trop bas. Dans le cas où c’est trop bas, rajouter un peu d’huile moteur. Si c’est noir, une vidange s’impose. Puis, contrôlez le niveau du liquide de refroidissement pour qu’il soit au bon niveau afin d’éviter que le moteur ne chauffe. Contrôlez également le niveau de liquide de freins et de direction assistée pour éviter les accidents. Après, testez l’état de la batterie, elle doit être de couleur verte. Il est aussi primordial d’entretenir les pneumatiques. Donc, gonflez les pneus au même poids pour une bonne stabilité.

La vidange et la révision de la voiture

La vidange consiste à changer l’huile du moteur, le filtre à huile et le joint de bouchon. Elle est à effectuer toutes les 10 000 à 15 000 kilomètres et cela dans le but de bien lubrifier le moteur et de débarrasser les impuretés. Ainsi, si la vidange se fait dans les normes et dans le délai requis, le risque de moteur qui tombe en panne est quasi nul. La révision quant à elle consiste à remettre en état le moteur et à remplacer les pièces usées par des pièces neuves. Cette opération devra se réaliser au moins dans les 2 ans après l’acquisition de la voiture si elle roule peu et 1 an si elle roule beaucoup. La révision est aussi recommandée avant de faire un long trajet.

Entretenir les pièces mécaniques

Chaque véhicule possède ses spécificités nécessitant chacune des opérations de révision régulières. Concernant l’aspect mécanique, il y a le moteur, l’échappement, la batterie et autres qui doivent être vérifiés aussi souvent que possible. Un seul petit dysfonctionnement de l’une des pièces mécaniques peut mettre en danger la sécurité tout entière de votre voiture et des passagers. Autant prendre les précautions nécessaires pour éviter les mauvaises surprises en pleine route dans ce cas. Ne négligez pas les vérifications de routine même s’il n’y a pas de problème apparent. Vous devez entre autres, effectuer le contrôle du liquide de freins, de l’état de la batterie, des feux, etc.

Vérifier le système d’éclairage

Pour rouler en toute tranquillité, il ne faut pas oublier d’examiner l’éclairage et remplacer les ampoules défectueuses s’il le faut. C’est une démarche cruciale non seulement pour votre sécurité, mais aussi pour celle des autres empruntant les mêmes trajets que vous. N’oubliez aucune lampe durant la vérification, notamment les feux de stop, les clignotants, les feux arrière et les feux de recul. D’ailleurs, si vous n’avez pas d’éclairage ou s’il est défaillant, vous êtes susceptible de recevoir une amende. En même temps, pensez à la propreté des optiques, car ils sont essentiels à la qualité de l’éclairage.

Entretenir les pneumatiques

Les pneus constituent le lien entre la voiture et le sol. Il est par conséquent important d’y jeter un coup d’œil de temps en temps. Il s’agit essentiellement de la vérification de l’usure qu’ils ont subie. En cas de besoin, il ne faut pas hésiter à les remplacer. L’entretien des pneumatiques passe le plus souvent par la vérification de la pression et de la géométrie, par l’équilibrage ou par le contrôle du parallélisme. Toutefois, demandez si possible l’avis d’un connaisseur ou d’un mécanicien personnel avant de toucher au mécanisme. Parmi les astuces les plus utilisées par les automobilistes, la permutation des roues permet d’homogénéiser les cas d’usures.

Commencez par dégraisser vos roues

Pour commencer le nettoyage, l’idéal est de dégraisser les roues avec des produits de dégraissage adaptés. Cela permettra de dissoudre toute la saleté entreposée sur la chaîne. Vous pouvez par exemple utiliser de l’eau avec du liquide vaisselle qui sont faciles à trouver et très efficaces. Néanmoins, n’abusez pas trop du savon pour éviter une mousse trop abondante. Il faut utiliser beaucoup d’eau. Par ailleurs, l’idéal à utiliser pour le nettoyage n’est pas du chiffon ou une éponge, mais du gant en microfibres particulièrement dédié pour nettoyer de ce genre d’engin. Cela permet d’éviter les rayures sur les carénages. En outre, il faut éviter le lavage à haute pression pour une moto. Certes, c’est plus pratique et plus rapide, mais cela peut causer beaucoup de dommages, notamment sur les autocollants, la peinture et d’autres éléments décoratifs. Cela pourrait également provoquer la dégradation et l’oxydation de la carrosserie sur le long terme. Beaucoup de quantité d’eau propulsée sur la moto peut aussi nuire à l’intégrité des circuits électriques.

Les choses à éviter durant le lavage

Si vous comptez nettoyer votre moto après un long trajet, vous devez absolument le laisser refroidir pendant quelques heures avant de commencer le lavage. En effet, il faut éviter de laver une moto à chaud, car les pièces métalliques augmentent du volume lorsqu’elles sont au contact de la chaleur. Donc, pour qu’elles ne refroidissent brusquement et se contractent pendant le nettoyage, il est recommandé de laisser refroidir la moto après une virée avant de la laver. Cela permettra d’éviter de fragiliser les pièces de votre moto. De même, il faut toujours privilégier l’eau froide pour le nettoyage. Puis, vous devez également éviter de laver votre moto sous le soleil, car comme mentionné précédemment, il faut éviter la chaleur pendant le lavage. De plus, la chaleur avec les frottements peut altérer la peinture de la moto. Enfin, privilégiez l’utilisation de produits spécifiques appropriés pour le lavage, évitez que l’eau ne pénètre à l’intérieur de l’engin, utilisez une cire appropriée et lubrifiez la moto après le nettoyage.

Quand faire la vidange de sa moto ?

L’huile est un élément majeur dans la mécanique de moteur de moto. Il permet à la fois de refroidir, nettoyer et lubrifier le moteur. Ainsi, il est primordial d’effectuer une vidange régulièrement pour un bon entretien de la moto. En moyenne, la vidange doit se réaliser tous les 6000 ou 7000 km, donc environ 1 fois par an. Plus, la moto roule, plus elle a besoin de vidange, car la crasse s’entasse sur le filtre et l’huile perd ses propriétés lubrifiantes, ce qui peut causer des dégâts sur le moteur et certaines pièces. Donc, lors de la vidange, il est aussi utile de changer le filtre à huile. À noter que si vous voulez faire la vidange de votre moto vous-même, vous devez disposer de certains outils, notamment un entonnoir, une boite de douilles, un bac à vidange et une clé à filtre générique. Tous ces outils vous permettront d’effectuer l’opération correctement, c’est-à-dire de vider l’huile usée du moteur de défaire et monter certaines pièces. Bien évidemment, il ne faut pas non plus oublier une bonne quantité l’huile moteur d’excellente qualité lors de la vidange.

Comment effectuer la vidange ?

Avant tout, précisons que la vidange d’une moto s’effectue toujours à chaud. Une fois que vous avez rassemblé tout le matériel nécessaire pour la vidange, vous pouvez installer la béquille de la moto. Puis, vous pouvez dégager l’écrou de vidange et vider l’huile usée dans le bac. Vous devez ensuite ôter l’ancien filtre à huile et installer le nouveau. En même temps, vous devez laver et resserrer la vis de vidange avec un joint neuf. Vous pouvez enfin faire le remplissage d’huile et contrôler son niveau. Lorsque vous mettez l’huile, faites tourner le moteur pendant quelques minutes pour garnir le filtre. C’est fini, vous avez maintenant terminé la vidange.