Débutant ou expérimenté : il y a de la place pour tout le monde

Débutant : gagnez de l’expérience avec un stage de pilotage sur circuits

Vous n’êtes jamais monté dans une voiture de sport auparavant et pourtant vous en rêvez. Ne perdez plus de temps à faire des plans sur la comète. Inscrivez-vous à un stage de pilotage qui vous propulsera au sommet des sensations fortes. Il y a fort à parier que vous ne regretterez pas votre investissement. Vous n’avez pas à avoir peur (la peur est normale malgré la passion qui vous anime), car un coach expérimenté sera à vos côtés. Il vous indique ce qu’il faut faire et, si besoin, il prend le contrôle de la voiture. Ce stage sur circuit est un rêve qui devient réalité et en toute sécurité.

Expérimenté : peaufinez votre savoir-faire

Vous vous connaissez en voiture de sport et vous en avez même déjà conduit dans le passé. C’est peut-être le moment de revivre l’expérience. Participez à un stage de pilotage sur circuit, choisissez le véhicule qui vous excite, prenez possession de lui. Conduisez en toute liberté ! Ceci étant, puisqu’il s’agit d’un stage, vous êtes là pour parfaire votre conduite. Ne l’oubliez pas. Vous avez la possibilité de vous entraîner seul ou encadré par un pilote instructeur.

Des voitures mythiques sur des circuits de légende

Conduisez sur des circuits de renom, dont celui de Clastres et celui des Escuyers. Ces deux derniers ne sont peut-être pas des circuits historiques, mais chacun a gagné ses galons : ce sont d’excellentes pistes au niveau technique et sécuritaire et on les apprécie pour cela. Beaucoup de champions de courses automobiles s’y entraînent et s’y perfectionnent. Eh oui, lors d’un stage de pilotage sur circuit, on s’interdit de faire les choses à moitié. L’excellence est sollicitée, même en stage. Que conduit-on exactement sur ces circuits ? Voici quelques noms :
– des Ferrari,
– des Porsche (718 Cayman GT4 RS, 992 GT3, 718 Sport Cup, etc.),
– des Alpines,
– des Lotus,
– une Renault Megane 3 RS Trophy
– une BMW M2, etc.

Que des sportives qui font sursauter l’adrénaline !

C’est quoi au juste la carte grise ?

Appelée aussi certificat d’immatriculation, la carte grise est en quelque sorte la carte d’identité d’un véhicule. Elle donne la possibilité d’identifier une voiture et de conditionner la mise en circulation de celle-ci. Notez que ce document indispensable n’a pas de valeur au même titre qu’un acte de propriété. La carte grise porte souvent des informations comme l’identité du propriétaire du véhicule, le numéro d’immatriculation du véhicule, ses caractéristiques (puissance et données techniques). Lors d’un contrôle policier, si le conducteur n’est pas en mesure de présenter la carte grise de son véhicule, il se peut qu’il reçoive des sanctions.

Les démarches pour faire la demande

En général, cela ne prend que quelques minutes pour réaliser une carte grise en ligne. Depuis votre domicile, vous pouvez faire votre demande sur le site de l’ANTS. Mais sachez que cette procédure peut comporter des erreurs. Ce qui fait que vous devez attendre pas mal de temps pour recevoir votre certificat d’immatriculation. Pour éviter cela, certains automobilistes font alors appel à un prestataire spécialisé qui est un expert des démarches de carte grise. En ce qui concerne les coûts liés à la procédure, l’idéal est de se fier aux frais références des sites spécialisés les plus sérieux. En effet, ces derniers font souvent leur calcul en se basant sur des informations fournies sur un véhicule.

Les documents pour s’immatriculer

Pour faire votre carte grise en ligne, il faut prévoir un certain nombre de documents, dont le formulaire de demande de certificat d’immatriculation, un justificatif d’assurance, une attestation d’assurance, un justificatif de domicile du demandeur, un permis de conduire du demandeur, un mandat d’immatriculation (formulaire CERFA n° 13757*03), le certificat de conformité, la facture d’achat et bien sûr le quitus fiscal (pour véhicule neuf). Si vous venez d’acheter un véhicule d’occasion et vous voulez renouveler la carte grise, alors il va encore falloir préparer d’autres documents comme la carte grise remise par l’ancien propriétaire, le certificat de cession et le document de visite technique.

Les circuits automobiles

Prenez des cours de pilotage automobile. Un pilote vous chapeautera tout au long de la séance, pour vous aider à perfectionner votre conduite. C’est une opportunité en or pour les novices qui rêvent de faire carrière dans les courses automobiles.

Vous avez déjà une voiture ? Venez apprendre à la conduire comme un pro sur les circuits automobiles ! C’est une pratique de plus en plus courante chez les automobilistes, surtout pour s’habituer à un véhicule puissant. Le concept est simple, vous venez avec votre voiture et la piste de course est à vous pour une durée déterminée.

Les jeux de réalité virtuelle

L’avancée technologique a permis de concevoir des jeux de conduite, aussi vrai que nature. Il n’est plus besoin de demander la clé des voitures des parents pour s’exercer. Il suffit de brancher le courant et de se connecter. L’avantage majeur de ces jeux de simulation de conduite réside dans le fait qu’ils sont livrés avec les accessoires (volant, boîtes de vitesses, etc.), que vous retrouverez dans n’importe quel véhicule. Or, vous serez en sécurité à domicile, dans votre chambre.

Le karting

Selon les statistiques, 45 % des grands pilotes automobiles actuels ont pratiqué l’art de conduire une voiture sur les pistes de karting de leur commune. C’est donc un très bon moyen d’avoir le cran de s’essayer à la vitesse, si vous n’êtes pas encore très à l’aise avec une grosse voiture.

D’ailleurs, les circuits de karting sont nombreux en France, permettant aux automobilistes de choisir ceux à proximité d’eux. Et pourquoi ne pas passer une journée karting en famille ? Tandis que les adultes et les jeunes font la course, les enfants peuvent jouer les supporters ! Un moment mémorable en famille, loin du tracas du quotidien, tout en apprenant à conduire.

1. Bien choisir votre agence de location de voiture

Avant de se décider à opter pour une quelconque agence de location, il faut d’abord bien lire les conditions du contrat de location. Si un site met en location un véhicule à 6 euros par jour, cela est plutôt tentant, mais peut comporter des risques. En effet, même si l’agence applique une location à bas prix, elle va probablement se rattraper sur les frais supplémentaires comme les frais de dossier, les assurances, le kilométrage ou le carburant. Privilégiez alors un loueur qui a une bonne réputation. Pour cela, n’hésitez pas à consulter les avis des consommateurs sur internet.

Si vous êtes dans le Val-d’Oise, vous pouvez trouver ici un vrai professionnel. Ce dernier vous offre plusieurs prestations comme la livraison de véhicule à domicile, l’offre soirée, etc. Il propose également des services annexes pour votre voiture personnelle, tels que les services de réparation et de nettoyage des voitures, intérieur et extérieur.

2. Privilégier l’option kilométrages illimités

Lorsque vous allez faire votre recherche sur internet, il est recommandé de la filtrer en choisissant l’option kilométrages illimités. Dans le cas échéant, la facture de location risque d’être très salée. Aussi, il faut considérer l’option «plein à rendre plein». Aucun loueur ne va accepter «plein à rendre vide», à moins qu’il vous facture un tarif exorbitant. En choisissant ces options, cela permet d’éviter d’éventuelles déconvenues.

3. Être vigilant avec les assurances

Bien qu’une assurance tous risques soit comprise dans la location, il faut quand même se méfier. En effet, il y aura encore des franchises à payer qui peuvent aller jusqu’à 1 500 euros. Comme alternative, vous pouvez souscrire à une assurance de rachat de franchise. Toutefois, il faut faire attention lorsque le loueur vous offre une autre assurance à la place de la franchise lors du retrait du véhicule. Cela sent l’arnaque. Alors, payez quand même la franchise. Lorsque vous avez déjà pris l’assurance «rachat de franchise», il faut tout simplement refuser l’autre.

4. Faire attention à la carte bancaire utilisée

Au moment du retrait du véhicule, il se peut que le loueur vous demande votre carte de crédit afin d’avoir votre empreinte et retirer une caution. Alors, vous devez vérifier dans le contrat de location si votre carte y figure ou non. En France, les établissements bancaires proposent des cartes de débit. Quand le loueur vous demande une carte de crédit, il faut se méfier. Même si ce type d’arnaque est assez rare, restez toujours sur vos gardes.

5. Prenez en compte les frais d’aller simple

Des suppléments seront appliqués si vous rendez le véhicule à une autre adresse. Le montant sera évalué en fonction du loueur et de la proximité de ce lieu, par rapport à l’endroit où vous avez retiré le véhicule. Ne soyez donc pas étonné que le loueur vous réclame un supplément lors du retrait de la voiture. Le paiement du prix de la location se fait en ligne depuis le site du comparateur. Par contre, les frais d’aller simple seront versés auprès du loueur.

Ce qu’est une déclaration de cession

La déclaration de cession est d’une importance capitale et remplit plusieurs rôles. D’abord, il s’agit d’un document qui sert à informer les autorités du changement de propriétaire d’un véhicule. Puis, avec une déclaration de cession, le nouveau propriétaire peut immatriculer le véhicule à son nom. Le véhicule lui appartient officiellement puisque ce sera son nom qui est inscrit sur le certificat d’immatriculation. Enfin, ce document protège l’ancien propriétaire. Comment cela ?

Une fois que le nouveau propriétaire met le véhicule à son nom et qu’il commet des infractions à bord du véhicule, il reste seul responsable aux yeux de la loi. En cas d’amende, d’accident ou de tout autre incident, l’ancien propriétaire ne sera plus inquiété puisque ce n’est ni son nom ni son adresse qui sont sur la carte grise.

À noter également qu’il faut absolument deux exemplaires de la déclaration de cession : l’un pour l’ancien propriétaire et l’autre pour le nouveau propriétaire. Il faut retenir que ces deux exemplaires doivent être similaires en tous points. Autrement, les deux ne seront pas valides. Le vendeur et l’acheteur doivent tous les deux signer ces deux exemplaires à la main, et une annotation en haut à droite de la déclaration de cession indique à qui l’exemplaire est destiné. Il est aussi à noter qu’une déclaration de cession photocopiée n’est pas recevable, en tout cas pour les services d’immatriculation. Il faut absolument que les deux exemplaires soient des originaux.

Remplir une déclaration de cession

Remplir une déclaration de cession n’est pas bien compliqué, même pour ceux qui n’aiment pas du tout les paperasses. Comme l’ensemble des procédures pour la carte grise, cette déclaration doit désormais être faite en ligne. Nul besoin de se rendre en préfecture ni en sous-préfecture pour réaliser cette démarche. Pour cela, il faut passer par le site de l’État, à savoir l’ANTS. Il est toutefois possible de passer par un prestataire agréé pour faire cette démarche. Dans ce cas, la tâche est payante. Mais c’est très rapide. Il n’y a qu’à payer les frais et fournir les documents.

Il faut à tout prix que cette déclaration de cession soit accomplie dans les 15 jours suivant la transaction. Le mieux à faire, c’est de la faire dans les plus brefs délais, car l’acquéreur doit mettre la carte grise à son nom dans les 30 jours qui suivent l’achat du véhicule. En effet, sans le code de cession remis à l’ancien propriétaire lors de la déclaration de cession, le nouveau propriétaire est tout simplement dans l’impossibilité de demander le changement de nom sur la carte grise. Il est donc très important de respecter le délai. Alors, attelez-vous à la tâche le plus tôt possible.

Pour remplir la déclaration de cession, il suffit de suivre les indications pour chaque case et pour chaque rubrique. Puis, vérifiez les informations pour s’assurer qu’il n’y a aucune erreur et envoyez.

Déclaration de cession en ligne

Comment procéder à la déclaration de cession en ligne ? Puisque toutes les démarches en cas de vente d’un véhicule d’occasion ont toutes été dématérialisées depuis la réforme PPNG, il n’est plus question d’envoyer la déclaration de cession à la préfecture. Bien sûr, il ne faut pas non plus envisager de ne pas se soumettre à cette déclaration de cession, ce qu’un certain nombre d’automobilistes se plaisaient à faire auparavant. C’est une étape obligatoire. La première étape pour effectuer cette déclaration, c’est de remplir le formulaire dédié, le Cerfa 15776*01. Il faut le télécharger en ligne, l’imprimer. C’est cette version en papier qui va servir de preuve de la transaction. Avec ce support, il faut à présent faire la déclaration de cession en ligne sur le site de l’ANTS. Pour en savoir plus sur la déclaration de cession en ligne, sachez qu’outre ce site officiel de l’État, il existe toute une liste de sites Web de professionnels privés et habilités par le ministère de l’Intérieur sur lesquels il est possible de réaliser cette formalité. Bien entendu, la démarche est payante, mais on profite d’un gain de temps, on économise son énergie, on a moins de contraintes, etc.

Une fois connecté sur le compte ANTS

Si on ne dispose pas encore d’un compte ANTS, il faut le faire sans faute avant de pouvoir faire la déclaration de cession. Pour s’authentifier, on peut donc passer par un compte personnel ANTS ou bien via un compte France Connect. Ce dernier est bien plus avantageux parce qu’il permet de réaliser d’autres démarches nécessaires plus tard. Dans le cas du code confidentiel, posséder un compte France Connect permet de s’en passer, ce qui facilite grandement les démarches. Une fois sur le site, celui de l’ANTS ou d’un prestataire privé, il faut enregistrer la déclaration de cession. Concrètement, il faut se rendre dans l’espace Mon Véhicule et cocher « Je vends ou je donne mon véhicule ». C’est là où il faut insérer les informations indiquées sur le certificat de cession en version papier qui a déjà été rempli soigneusement. Lorsque l’enregistrement sera effectué, un code de cession sera remis à l’ancien propriétaire. Celui-ci doit ensuite remettre ce code au nouveau propriétaire, car c’est avec ce code que ce dernier pourra lancer la demande de nouvelle carte grise du véhicule. Sans ce code, pas de changement de titulaire sur la carte grise, ce qui n’est pas dans l’intérêt de l’ancien propriétaire ni dans celui de l’acquéreur.

Code de cession, de quoi parle-t-on ?

Code de cession, de quoi parle-t-on exactement ? Quand le nouveau propriétaire se rend sur le site de l’ANTS pour faire la demande de changement de titulaire sur la carte grise, on lui réclame ce code de cession. S’il n’a pas ce code, sa démarche est bloquée. En fait, le code de cession est un code composé de chiffres et de lettres permettant d’authentifier le nouveau propriétaire d’un véhicule. Mais seul l’ancien propriétaire peut l’obtenir. Il le reçoit de façon automatique lorsqu’il réalise la déclaration de cession du véhicule. Si jamais il oublie cette procédure importante, l’acheteur n’aura pas le code et ne pourra pas immatriculer le véhicule à son nom. Le nouveau propriétaire devrait, dans ce cas, rappeler au vendeur d’effectuer cette déclaration dans les meilleurs délais pour que l’un et l’autre ne se retrouvent dans des situations inconfortables, voire problématiques. Pour rappel, tant que le véhicule est au nom de l’ancien propriétaire, il aura à payer les amendes que le nouveau propriétaire aura eues, et c’est aussi lui qui sera tenu pour responsable de ce qui pourrait arriver au véhicule, à ses occupants et peut-être même à des tiers. De son côté, le nouveau propriétaire ne peut pas faire ce qu’il veut du véhicule étant donné qu’il ne lui appartient pas encore à 100 %.

En l’absence de code de cession, que faire ?

Si le nouveau propriétaire ne dispose pas du code de cession, c’est peut-être parce que l’ancien propriétaire refuse de le lui donner, pour une raison ou une autre. Cela arrive parfois avec des vendeurs plus ou moins malhonnêtes. Dans ce cas, la partie n’est pas perdue pour autant. Oui, des solutions existent heureusement. Pour muter la carte grise à son nom, le nouveau propriétaire a deux options devant lui : soit il entre en contact avec l’ancien propriétaire et lui demande expressément de télédéclarer sans tarder la cession du véhicule, après quoi, il recevra le code de cession qu’il n’aura plus qu’à lui transmettre, soit il passe par un prestataire agréé. En fait, passer par de tels professionnels habilités présente plusieurs avantages, entre autres choses le fait de ne pas avoir besoin du code de cession pour le changement de titulaire sur la carte grise. Faire appel à de tels prestataires est donc intéressant même si c’est payant parce qu’il n’y a nul besoin de code de cession pour demander le nouveau certificat d’immatriculation. Par la même occasion, il serait préférable de confier la démarche de demande de carte grise au même prestataire.

L’acte de francisation du bateau

Ce document concerne les bateaux de plaisance dont la longueur de coque est supérieure ou égale à 7 mètres ou dont la longueur de la coque est inférieure à 7 mètres, mais dont la puissance du moteur est supérieure ou égale à 22CV. Vous devez l’exiger à l’acheteur, car il permet de considérer l’embarcation comme relevant du droit français.

L’état hypothécaire

L’ancien propriétaire ou le vendeur peut omettre de vous dire que le bateau fait l’objet d’une hypothèque ou d’un saisi conservatoire. Pour éviter tout problème avec l’Administration, vous devez vérifier par vous-même auprès de douanes. C’est une fois que vous êtes sûr que tout est en règle que vous devez passer à l’accord de vente.

L’acte de vente

Le vendeur peut rédiger de son côté l’acte de vente. Dans tous les cas, il devra mentionner clairement l’état civil des deux parties et les informations sur le bateau. On doit y retrouver le type, le nom, le tonnage, le numéro de série, la date de construction, l’immatriculation, la date et le numéro de l’acte de francisation et le port d’attache du bateau. Il ne faut non plus oublier le prix et les conditions de la transaction.

Informer les douanes de la conclusion de cette transaction

Une fois l’acte de vente signé, c’est au vendeur d’informer les douanes de la conclusion de la transaction et du changement du propriétaire. Pour ceci, il a un mois et vous, en tant qu’acheteur, peut lui poser des questions sur ce point. Les administrations douanières peuvent avoir besoin de documents de nouveau propriétaire comme son justificatif de domicile ou la copie de sa carte d’identité.

Soignez les détails techniques avant la vente

Tout d’abord, passer la voiture au contrôle technique, surtout si elle a plus de 4 ans et que le dernier contrôle remonte à plus de 6 mois. Le certificat de contrôle est obligatoire pour conclure la vente. Ainsi, quelques réparations s‘imposent pour garantir la qualité et la sécurité du véhicule, ainsi que son état général. Ensuite, soignez son apparence. C’est un geste parfois anodin et pourtant très efficace pour vendre vite un véhicule. Pour ce faire, faites un lavage complet de la carrosserie, ne passant par le moteur jusqu’au châssis. Lustrez les plastiques intérieurs, ainsi que les petites rayures de peinture. Nettoyez également les sièges, videz la boîte à gant et changez le tapis du sol. Le but ultime est que la voiture ressemble au maximum à du neuf pour qu’elle paraisse impeccable.

Réglez le côté paperasse et assurez un bon réseau de vente

Dans un premier temps, assurez-vous que la voiture soit en règle. La carte grise doit être remise à l’acheteur avec ses coordonnées et la date de la mise en vente. Ce certificat d’immatriculation lui permettra de circuler librement jusqu’à l’obtention de sa propre carte grise. Attention, l’adresse du vendeur doit être mise à jour sur la carte. Ensuite, il faut avoir un certificat de non-gage pour être sûr que la voiture n’a pas été obtenue suite à un crédit de bail en cours ou à une grosse amende non payée. Puis, faire une déclaration de vente est nécessaire une fois celle-ci est conclue auprès de l’ANTS (Agence Nationale des Titres Sécurisés). Vous devez aussi avoir un code de cession qui est remis lors de la déclaration de vente et qui est transféré à l’acheteur afin qu’il puisse à son tour immatriculé le véhicule à son nom. Enfin, n’oubliez pas l’assurance. Elle doit être résiliée par une lettre de résiliation de vente et être transférée vers votre nouvelle voiture. A noter que pour vendre rapidement une voiture, il est important de présenter une valeur juste. Donc, n’hésitez pas à faire estimer par de spécialistes le prix de la voiture avant de la vendre via une plateforme de renom ou via les petites annonces. Si vous le voulez, vous pouvez faire également une reprise auprès d’un concessionnaire qui vend des voitures d’occasions. L’inconvénient dans ce cas de figure est que le prix est assez bas par rapport à une vente entre particuliers, mais cette solution a l’avantage d’être rapide et fiable.

Mettez en valeur votre moto et déterminez le juste prix

Pour pouvoir trouver rapidement un acheteur pour votre moto, vous devez savoir la mettre en valeur. Ainsi, faites en sorte qu’elle soit en bon état, par exemple en améliorant la carrosserie par la peinture, en changeant certaines vieilles pièces, en polissant les chromes, en changeant les roues, etc. Vous pouvez aussi ajouter sur la moto quelques accessoires qui la rendraient plus belle. Avant de présenter la moto aux éventuels acheteurs, n’oubliez pas de la laver pour qu’elle soit agréable à voir. En outre, pour que votre moto puisse trouver vite un preneur, essayez de déterminer le juste prix. Pour cela, vous pouvez faire des recherches sur internet et comparer les différentes offres correspondant à une moto de modèle identique à la vôtre sur le marché. Ainsi, vous aurez une moyenne de prix à pratiquer selon les caractéristiques de votre véhicule.

Rédigez une annonce correcte

Pour que votre annonce attire plus de personnes, vous devez la rédiger correctement en mentionnant les éléments essentiels tels que la marque, le kilométrage, les équipements, l’année de mise en circulation, l’état, la couleur, la localisation de l’engin, les accessoires optionnels, le prix et votre contact. Soyez le plus clair et le plus honnête possible dans votre annonce pour éviter le risque de publicité mensongère. Par ailleurs, l’annonce doit être courte, facile à comprendre et précise. L’essentiel dans l’annonce est de mettre en avant les atouts de l’engin. Mais vous pouvez également y mentionner les petits inconvénients ou problèmes qui nécessitent un changement et qui justifient le prix que vous avez posté. Puis, n’oubliez pas d’accompagner l’annonce d’une jolie photo de la moto sous divers angles.

Préparez en avance les documents utiles pour la vente

Pour accélérer la procédure de vente, vous devez également préparer en avance les documents utiles lors de la transaction. Il existe des documents obligatoires et des papiers facultatifs à fournir au preneur lors de la vente. Parmi les documents obligatoires, il y a la carte grise du véhicule, le certificat de vente et le certificat de situation administrative qui est une preuve de non-gage. Parmi les documents facultatifs que l’acheteur peut demander, on peut mentionner le carnet d’entretien, ainsi que les factures.

Les simulateurs en ligne

Pour faire le choix du type d’assureur répondant à vos attentes, n’hésitez pas à recourir aux simulateurs en lignes. Ce type de logiciel SaaS vous offre non seulement des devis gratuits provenant des assureurs partenaires de la plateforme, mais vous oriente également sur l’organisme à approcher en fonction de votre type de véhicule, de votre revenu et de vos besoins en termes de couverture.

Les compagnies d’assurance

En dehors d’Internet, vous pouvez vous rendre directement auprès d’un organisme d’assurance pour trouver le bon contrat. Étant des sociétés anonymes avec actionnaires, elles envoient les contrats par le biais d’agents généraux mandataires. Ainsi, ce sont ces derniers qui accueilleront l’intéressé en personne. Par ailleurs, ces agents sont autonomes des compagnies d’assurance au niveau de la gestion de leurs clients. Toutefois, les compagnies recevront un pourcentage des gains touchés par ces agents.

Les courtiers d’assurances et les banques

Si vous souhaitez faciliter la recherche d’assureur, vous pouvez aussi contacter un courtier d’assurance. A l’opposé des agents généraux, ce type de professionnel travaille en solo, mais collabore avec de nombreux assureurs. Ce qui en fait sa force étant donné qu’il va vous proposer la meilleure offre, mais il peut aussi négocier les cotisations sur les contrats en étant un partenaire de l’assureur. Si vous optez pour une banque comme assureur, l’agent qui vous recevra sera aussi un agent en opération d’assurance comme chez les compagnies d’assurance.

Les mutuelles sans intermédiaire dans les grandes surfaces

De plus en plus de points de vente se trouvant dans les galeries des supermarchés proposent également des assurances auto. Contrairement aux compagnies d’assurance, ces deniers n’ont pas d’actionnaires, mais dépendent étroitement d’un organisme d’assurance. Il faut toutefois savoir que ces agences ne peuvent pas gérer leurs clients à leurs guises, ils ne sont que des intermédiaires. Une fois que vous aurez trouvé l’assureur qui vous correspond, vous pouvez rassembler les pièces nécessaires pour établir le contrat d’assurance. Il s’agit entre autres, d’un formulaire de demande d’assurance, du permis de conduire, du certificat d’immatriculation de la voiture et enfin, du relevé d’information assurance.

Les facteurs à prendre en considération

D’abord, précisons que chaque moto doit avoir une assurance même si son conducteur n’a pas de permis ou si elle demeure dans un garage. L’inexistence de l’assurance est sanctionnée par une amende de 3 750 € avec une immobilisation immédiate du véhicule et l’interruption du permis de son conducteur qui peut aller jusqu’à 3 ans. Dans le cas où vous subissez un accident, alors que vous n’avez pas d’assurance, la facture peut beaucoup grimper, car vous devez payer tous les dégâts et l’amende sera plus élevée. Certains facteurs devront être considérés lors du choix d’une assurance moto. Vous devez notamment penser à l’usage que vous allez faire de l’engin, est-ce que c’est pour une utilisation régulière ou occasionnelle ? Vous devez aussi penser à vos besoins et au montant que vous pouvez payer régulièrement pour la cotisation. Sachez que le coût de l’assurance dépend aussi en partie de la marque de la moto, ainsi que de sa date de mise en circulation, du modèle, de son kilométrage et sa situation générale. Vous devez donc choisir la formule d’assurance qui vous correspond le mieux en fonction de ces quelques facteurs. Par exemple, s’il s’agit d’une moto neuve, l’idéal est d’adopter l’assurance tous risques. En revanche, si c’est une moto d’occasion, une assurance au tiers est à privilégier avec quelques couvertures annexées comme l’incendie, le conducteur, le vol, les aléas naturels, etc.

Quels sont les divers types de contrats pour assurer une moto ?

Lorsque vous allez auprès d’une compagnie d’assurance pour adopter une assurance moto, elle vous propose généralement deux types de contrats, dont l’assurance au tiers et l’assurance tous risques. L’assurance au tiers est la couverture minimum qui existe pour tous et celle-ci est obligatoire. Elle permet d’assurer les atteintes physiques ou matérielles engendrées à une tierce personne si vous êtes le fautif dans le cadre d’un accident. Toutefois, cette assurance ne permet pas de rembourser les charges liées aux dommages subis par l’engin ni les charges médicales en cas de blessures. Elle ne prend pas non plus en compte le vandalisme et l’incendie. L’assurance tous risques, quant à elle, est une couverture complète qui permet de garantir tous les aléas qui peuvent advenir, ainsi que tous les dégâts, et cela, que vous soyez le responsable de l’accident ou non. Néanmoins, lorsque vous signez un contrat d’assurance moto tous risques, n’oubliez pas de bien vérifier les exclusions mentionnées, ainsi que les coûts des franchises.